LA VÉRITABLE IDENTITÉ DE PRUTA
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Description
Pruta:[Joueur]:Je comprends. Cela s'est donc passé à Mosaline au temps où j'avais perdu la mémoire. Je crains que nous ayons de gros problèmes.
Pruta:Que veux-tu dire ?
Je dois à présent vous raconter quelque chose : après la guerre, le pays a été divisé entre les quatre plus proches confidents de la reine Blid Blonead : Ruard Lopesa, Neban Maha, Edgar Seher et Uma Plutak. Ils se sont rapidement lancés dans de nouvelles luttes de pouvoir et ont noué des intrigues les uns contre les autres. L'opinion publique est passée de l'insatisfaction au rejet. Les rebelles se sont regroupés autour d'Armin von Remperd et ont occupé la ville de Lezina. Une nuit, le siège s'est transformé en bain de sang : à la faveur de l'obscurité, l'armée gouvernementale est parvenue à atteindre le centre-ville et s'est jetée sur les insurgés. Ce massacre est entré dans l'Histoire sous le nom de « Nuit de la lune noire ». On raconte qu'Arian Horus aurait trouvé la mort cette nuit-là et Uma Plutak a apporté son aide aux rebelles ; la princesse Olivier et Armin ont pu s'échapper.
Pruta:
Tu dois t'en être déjà douté, je suis le chef de l'association des chevaliers. Ces derniers temps, je me suis distancé de toutes les choses arrivées sous ce nom et bien dissimulé mon existence face au pays, mais maintenant, je semble sortir de ce jeu de cache-cache. Toi aussi, tu dois le savoir. En ce qui concerne l'existence obscure, elle s'est comportée de manière incompréhensible et a emprunté le corps de Ruard pour contrôler les affaires du pays. *Pruta ne peut pas parler plus longtemps et grimace douloureusement*
Pruta:
Je me suis caché ces quarante dernières années et j'ai conservé l'anonymat. Cependant, on m'a démasqué, j'ai perdu la mémoire et le contrôle de mon corps. Mais ce n'est plus le moment de se plaindre. Pendant que je me cachais, je me suis efforcé de faire toute la lumière sur cette affaire. Je crois savoir qui se cache derrière tout cela. Le problème est que son pouvoir est infiniment grand, à tel point que nous nous demandons si nous pouvons l'affronter.
